« J’adorerais me lancer comme coach… mais … »

Si cette phrase tourne en boucle dans ta tête, tu n’es pas la seule.

Je dirige une Académie de coaching, je forme des coachs depuis des années, et je peux te dire que la liste des “mais” peut être looooooooooooongue comme une liste de courses la veille de Noël :

• Mais suis-je légitime ?
• Mais suis-je assez compétente ?
• Mais suis-je assez expérimentée ?
• Mais pourquoi moi plutôt qu’un autre ?
• …

La réalité, c’est que beaucoup de coachs en devenir sont pleines de passion, merveilleusement formées, prêtes à aider… mais bloquées par des pensées qui les freinent avant même d’avoir essayé.
Bonne nouvelle : ces pensées ne sont pas la réalité.

Ce sont (je sais que tu le sais) : des croyances limitantes !

Et aujourd’hui, on va les démonter une par une.

1. Il faut être parfaite pour se lancer

Déjà, pépite, qui est parfaite ? Même Kate Middleton a sûrement plein de défauts !

Alors, on range les « Je dois tout savoir, maîtriser toutes les techniques et avoir des années d’expérience avant de pouvoir proposer mes services » au placard et on fait place à une super prise de conscience : tu n’as pas attendu de te former au coaching pour être compétente !

• Des personnes venaient déjà te demander conseil (on est d’accord, le coach ne donne pas son avis, mais le fait qu’on te demande conseil, c’est le signe qu’on te fait confiance). Essaye de te souvenir sur quels sujets on te demandait ces conseils !
• Tu connais déjà plein de choses (oui, toi, dont la bibliothèque déborde et qui a toujours 36 onglets ouverts en parallèle sur ton ordi parce que t’as repéré des infos qui t’intéressent).

Se lancer imparfaitement, c’est se rappeler qu’on a déjà des zones de génie, d’intérêt ou d’expertise. Et tout peut démarrer de là.

Quand je me suis lancée dans le coaching, en 2013, j’ai commencé par aider les gens à trouver un job qui leur plaise. Parce que c’est ce que je savais déjà faire ! Et la posture de coach m’a aidée à le faire mieux.

A toi de jouer : note 3 choses que tu maîtrises déjà et qui pourraient aider quelqu’un dès aujourd’hui !

2. Le marché est saturé, il y a déjà trop de coachs

Evidemment, tout le monde s’intéresse au coaching !

Encore bien, j’ai envie de dire, l’humanité n’a plus tellement de temps à perdre…
Dans ma vision, s’intéresser au développement personnel, c’est comme s’intéresser au fait de se brosser les dents : tout le monde devrait ! Vraiment !
En revanche, même si tout le monde était coach (ce qui n’est pas encore le cas cela dit), une comme toi, il n’y en a qu’une.

Et qui plus est, tu n’as jamais que 24h dans une journée.

Parce que dans l’absolu, t’aurais quand-même pas le temps de coacher tout le monde (déjà, privilégie ceux qui se brossent les dents).

Ton parcours, ton énergie, ton approche sont uniques.

Il y a de la place pour toi si tu apprends à clarifier ton positionnement et ton message. Et c’est bien là tout l’enjeu : définir ce qui te rend unique, ce qui te fait plaisir, qui tu aimerais vraiment aider.

3. Je ne suis pas assez légitime

Se sentir illégitime peut provenir :

• D’un truc systémique que tu ferais bien de régler en constellation familiale
• D’une ombre que tu ferais bien de régler en coaching
• D’un manque d’expérience (dans ce cas, rejoins des séances de pratique)
• D’une pensée à la con : j’ai encore des choses à régler, qui suis-je pour me permettre ?

Dans tous les cas, une solution existe !

Rappelle-toi qu’on attend d’un coach qu’il sache accompagner, écouter, poser les bonnes questions (et s’il sort de notre Académie de coaching, qu’il soit un excellent enquêteur du FBI).

Tes expériences personnelles font de toi une coach encore plus humaine et pertinente.

Franchement, si je n’avais jamais de soucis, je me sentirais totalement illégitime pour aider ceux qui en ont (ils me détesteraient probablement !). Bref, si tu veux qu’on t’aime, c’est pas mal d’avoir parfois quelques problèmes, haha !

4. Je ne suis pas assez charismatique

Si tu penses que les coachs qui réussissent sont des personnes super extraverties et que tu ne feras pas le poids, c’est faux !

Déjà, les extravertis peuvent se révéler être très agaçants pour une bonne partie de la population (crois-moi sur parole, j’en suis une). Ça gesticule, ça parle beaucoup, ça avance vite. Tout le monde n’est pas prêt !

La réalité, c’est qu’il existe autant de styles de coachs que de clients. Certains ont besoin d’un coach énergique, d’autres d’un accompagnement plus doux et introspectif. Ta personnalité attire les bonnes personnes pour toi.

Je dis toujours aux coachs que je forme : si une personne vient à toi, c’est que tu es la bonne personne pour l’accompagner !

5. Je ne sais pas me vendre

Ok, j’avoue, on arrive sur le gros dossier : la peur de vendre !

Exercice rapide : liste tout ce que tu penses des gens qui vendent, des gens qui vendent facilement, des gens qui vendent “cher”.

Du négatif dans tes réponses ?

Change-les ! Sans quoi, tu ne parviendras jamais à vendre !

Après, quand tu expliques ce que tu fais avec passion et sincérité, tu crées naturellement de l’intérêt. Oublie l’image du vendeur insistant, et pense plutôt à inspirer que convaincre. C’est notre leitmotiv dans notre Académie ! La vente est avant tout une histoire de valeur ajoutée.

Je dis toujours à mes coachs qu’une bonne vente est celle qui donne envie de danser la macarena à la fois au vendeur et à l’acheteur.

Rappelle-toi, toi aussi, tu as déjà jubilé un max après avoir acheté une formation, un accompagnement, un sac à main… !

6. Je vais devoir être hyper visible sur les réseaux sociaux

Hop hop hop, on se calme : il existe 1000 manières de se faire connaître.

Réseaux sociaux, ateliers, networking, retraites… Choisis ce qui te correspond au lieu de te forcer à faire ce qui ne te met pas à l’aise.

Si tu prends du plaisir dans la rencontre et l’échange, c’est là que tu seras performante et inspirante !

7. Personne ne paiera pour mes services

Alors ne vends pas “tes services”. Voili voilou.

Au lieu de vendre du coaching (comme tout le monde), vend ton approche unique qui permet de :

• retrouver la paix à la maison en 6 semaines
• reprendre confiance en soi suite à un licenciement en 3 mois
• doubler son CA en 120 jours sans sacrifier sa vie perso
• … 

Ce qui compte, c’est la promesse de transformation que tu peux formuler ! (Et respecter, il va de soi).

8. Je ne vais pas en vivre tout de suite, alors à quoi bon ?

Hé là, stop le drama !

Le produit “coaching” est un produit non récurrent. C’est-à-dire qu’une fois le problème du client résolu, il n’a plus forcément besoin de toi.

Le coach doit donc nécessairement être aussi un entrepreneur.

Et entreprendre, ça prend du temps !

J’évalue à 2 ans d’efforts quotidiens et continus pour se constituer un volume d’affaires à mi-temps, si par exemple, tu vends, comme nous, des parcours de coaching entre 1000 € et 2000 € pour aider les gens à changer leur vie.

Un business ne se construit pas en une nuit. Mais chaque petite action te rapproche de ton objectif.
L’important est d’avoir un plan et de persévérer. Encore et encore.

Et oui, tu auras des déconvenues. Des clients qui annulent. Des ateliers qui ne se remplissent pas. C’est vrai.

Mais l’entrepreneuriat c’est de l’essai, du réajustement, du feedback avec autant d’échecs que de succès.
En revanche, en activité complémentaire, c’est beaucoup plus rapide de développer une activité très rentable !

Et puis, peut-être que ton produit à toi n’est pas un accompagnement par séance mais une toute autre forme qui serait plus récurrente ou plus rentable… Tu es libre de construire ce qui te ressemble et ce qui a du sens pour toi et tes clients !

9. Je n’ai pas encore une offre bien définie

Très concrètement, je t’invite à réfléchir MAINTENANT à ce que tu pourrais bien proposer à la prochaine personne qui engage une conversation avec toi ou te pose des questions sur ton approche.

Le but n’est pas de lui balancer l’info comme ça lors d’un networking, entre deux petits fours, le mot de l’organisation et la projection de la vidéo sans fin des sponsors de la soirée. Non, l’idée est que DANS TA TÊTE, ça soit déjà clair.

Le but est de proposer à ce prospect un échange au calme, dans les jours qui suivent pour poursuivre votre conversation dans un contexte plus approprié. Pour prendre le temps de bien l’écouter.

Et c’est à ce moment-là que tu lui parleras de ce que tu peux proposer comme services.

Concrètement, ton service doit avoir un nom, une date de début et de fin, un tarif et des modalités pratiques. Ne reste pas vague, tu risques de ne jamais vendre.

Mais je dois encore t’avouer une chose : peut-être que ton service ne correspondra pas au besoin de ton prospect. Et c’est là que tu lui proposes autre chose, un sur-mesure (qui peut devenir ta nouvelle offre, comme par magie).

C’est en testant que tu vas affiner ton offre. Laisse-toi le droit d’évoluer et sois ouverte à ce que ton marché va te donner comme feedback !

Alors, pépite, ces situations résonnent en toi ?

Si oui, sache que c’est tout à fait normal, au début. Mais cela ne doit pas t’empêcher de réaliser ton projet.

Mon programme « Je crée mes activités de coach » est justement là pour t’aider à dépasser ces blocages, structurer ton activité et apprendre à te vendre sans te trahir.

Prête à te lancer ?

Avec le code PRESIDENTE5, tu auras une réduction immédiate de 5% si tu réserves ta formation dans les 48h.

Et si tu as besoin d’un petit coup de pouce supplémentaire, dans notre Académie de coaching Une touche de joie, nous sommes coachs systémiciens (c’est-à-dire : spécialiste des blocages inconscients).

A vite !
Laurence

PS : Au fait, je suis Laurence Cordonnier, coach systémicienne (c’est-à-dire : spécialiste des blocages inconscients), entrepreneure et directrice de l’Académie de coaching Une touche de joie. Concrètement, je forme les coachs aux outils les plus puissants (et méconnus) du coaching (qui ne sont pas forcément les outils classiques) et je les aide à se développer tout au long de leur carrière, dans leurs compétences de coach mais aussi d’entrepreneur.